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Date d'inscription : 30/04/2021
Avatar : Akame (Akame ga Kill!)
Âge : 17 ans
Ascendant divin : Athéna
Défaut fatal : La loyauté
 | Esther Nolan
Paying tributes to the peace | Sujet: Entre-deux | Esther Nolan Ven 30 Avr - 18:24 | |
|  | EstherNolan17 ansAthénaBisexuelleAucun clan14 ans | apparence1m69 ☾ 65kg ☾ Cheveux longs, d’un noir de jais, et généralement lâches (sauf durant les entraînements ou activités sportives) ☾ Les yeux rouges, et une bonne vue ☾ Silhouette fine et sportive ☾ S’habille souvent en noir ☾ Ne se maquille pas et porte rarement de bijoux, préférant le naturel au superficielAkame (Akame Ga Kill!) |
 | ★★☆ Mémoire (8/10)
★★★ Adrénaline (7/10)
★★★ Courage héroïque (5/10)
★★☆ Télékunésis (4/10)
★★★ Clairvoyance (3/10) |
MentalDÉFAUT FATAL : La loyautéLa demoiselle calme, attentive, polie, sérieuse et la jeune femme souriante, amicale et un brin taquine ne sont souvent séparées que par quelques heures de cours.
Comme beaucoup, tu requiers parfois quelques instants de calme et de solitude te permettant de révéler ta créativité et ton imaginaire. Tu n’en es pas moins sociable. Tu apprécies la compagnie d’autrui, les bonnes ambiances et les piques teintées d’ironie bien placées, notamment lors des moments de jeux et d’activités sportives qui te permettent de révéler ton caractère aussi bien coopératif que compétitif. Bienveillante et ouverte aux autres, tu n’as aucun mal particulier à t’exprimer, à parler franchement ou à accepter de nouvelles personnes dans ton entourage proche. Tu n’accordes cependant pas ta confiance facilement.
Derrière cette facette sympathique, tu as aussi un penchant égoïste. Tu fais généralement passer ton propre intérêt avant celui du bien commun, mais après celui des personnes qui comptent réellement à tes yeux. Ces personnes se comptent sur les doigts d’une main et tu n’hésiterais pas une seconde à donner ta vie pour elles. Tes parents en faisaient partit, avant qu’ils ne te trahissent.
Leur qualité de traître se discute, mais c’est ainsi qu’ils apparaissent à tes yeux. Pour toi, le respect, l’honnêteté et la loyauté sont des vertues importantes et tu ne pardonnes pas facilement à ceux qui te déçoivent. Ta facilité à tomber dans l’entêtement et l’orgueil ne leur facilite pas la tâche. De même pour ceux qui chercheraient à te détourner de tes principes.
Raisonnable et rationnelle, tu sais également prendre le temps de réfléchir si la situation s’y prête. Cependant, malgré ta réputation d’intellectuelle, de femme intelligente et cultivée, tu ne l’es pas plus que la moyenne. Cette notoriété ne t’es due que grâce à tes pouvoirs divins te permettant de mémoriser facilement les choses et d’analyser une situation plus rapidement que tes camarades. Ayant conscience que les apparences te concernant peuvent être trompeuses, tu te considère comme une adolescente demi-déesse ordinaire et sait rester humble devant tes réussites.
Tu as malgré tout parfois du mal à garder totalement ton sang froid et à connaître tes limites, notamment en situation réelles. Ta clairvoyance étant bien moins développée que ton courage héroïque, ce dernier agissant comme un inhibiteur sur ta peur peut parfois te pousser à l’excès de bravoure et d’assurance. | Salé plutôt que sucré (surtout les plats en sauce) ☾ Hiver plutôt qu’été (préfère enfiler trois couches et se caler sous la couette plutôt que finir à poil et avoir chaud quand même) ☾ Nuit plutôt que jour ☾ Sa couleur préférée est le bleu saphir ☾ Sait jouer de divers instruments de musique (guitare, piano, violon) ☾ Possède d’ailleurs sa propre guitare au camp et en joue régulièrement durant son temps libre ☾ Son jeu préféré : just dance ☾ Officiellement, elle aime le bon rock et écoute un peu de tout ☾ Officieusement, on trouve dans sa playlist aussi bien du classique que des morceaux datés de quelques décennies, entre deux chansons de dessins animés ☾ Regarder des films (ou jouer à des jeux) d’horreur l’ennuie, mais elle aime regarder les autres flipper ☾ Pudique mais tactile avec les personnes qu’elle apprécie ☾ Connaît plus de décimales de pi que Fabien Olicard ☾ Aime les énigmes et autres jeux de piste ☾ Lit beaucoup ☾ A un léger penchant pour la fantaisie, mais vit assez mal sa condition de demi-déesse : l’imaginaire devrait rester à l’imaginaire ☾ Elle déteste le concept de divinité, et se fiche éperdument des histoires entre Dieux (Elle déteste plus particulièrement Athéna) ☾ Son courage héroïque ne la protège que très peu face aux animaux canins agressifs, bien qu’elle sache apprécier ceux qui ne le sont pas ☾ Ses armes de prédilection sont l’épée et la lance |
HistoireÉlève presque modèle noyée dans sa quiétude et fille chérie d’une famille soudée. C’est ainsi que tu te percevais, quand bien même de tels mots n’auraient jamais franchis tes lèvres. Tes bulletins aux notes vertigineuses, assaisonnés des louanges de tes professeurs, t’assuraient sans conteste un avenir brillant. Pourtant, tu n’étais ni travailleuse, ni particulièrement flatteuse à l’égard de tes enseignants, ni l’égérie du comportement idéal. Tu n’étais qu’une jeune femme normale, si tant est que la norme existe, et cela te convenait.
Amicale, un brin bavarde, polie, intelligente et sérieuse. C’est généralement ainsi que tes instructeurs et camarades te décrivaient. Ils n’avaient pas tout à fait tort. Tu en étais fière, et tes parents avec.
Ta petite vie tranquille était faite d’un enchaînement de banalités. Des cours que tu écoutais avec attention, qu’importe l’intérêt que tu leur portais, car tu avais compris que c’était là la clé de la réussite. Des amis égayant tes temps libres, principalement parce qu’ils gardaient le sourire quand tu les écrasais aux jeux de rythme, et qu’ils en redemandaient avec la conviction que la roue finirait par tourner. Mais de l’espoir, il y en avait peu. Seule musicienne du groupe, tu avais ça dans la peau. Guitare, sèche ou électrique, piano, parfois le violon de ton père… Tu étais douée. Oreille absolue, disait-on.
Il y avait aussi ces examens, que tu survolais, la plume agile, te remémorant avec précision les discours de tes professeurs. Ou ces garçons, qui te lançaient parfois regards et mots qu’ils auraient mieux fait de garder. Les plus éveillés parleraient de harcèlement, là où les plus déniant ne crieraient qu’au processus de séduction. Pour toi, c’était un jeu. Un jeu dont les tenant et aboutissants ne faisaient que glisser sur tes répliques renvoyée à la volée. Tu ne les craignais pas. Course, lancer, judo… Les cours d’éducation sportive avaient démontré ta supériorité physique sur chacun d’entre eux.
Tu te satisfaisais dans la platitude de ton quotidien quasi-utopique, baignant dans la sympathie de tes plus proches amis, l’amour parental, et la jalousie de ceux trop amer pour essayer de te connaître. Tu avais tout pour toi, excepté un projet pour l’avenir. Mais tu avais encore le temps.
Tu avais tout. Même un cadeau du ciel que tu ne soupçonnais pas. Tu ne voyais en ta personne qu’une jeune femme incroyablement commune. Souvent meilleure que les autres, mais tu n’aimais pas qu’on te le rappelle. T’en satisfaire seule dans ton coin te suffisait. Tu ne supportais pas qu’on dise de toi que tu possédais un talent inné, un don, ou des aptitudes hors-normes. Ça n’était pas toi. Ça ne correspondait pas à l’image modeste que tu avais de toi. Tout n’était que le fruit de ton travail.
Ça a été difficile, le jour où tu as compris la vérité, longtemps après l’avoir apprise. Quand ton petit monde a commencé à s’écrouler, le refus et le déni t’ont dominée longtemps.
Tu n’avais jamais été particulièrement gâtée. La petite vie New-Yorkaise de tes parents ne leur avait pas permis de rouler sur l’or, mais tu n’en demandais pas plus. Qu’importe s’ils n’étaient pas riches, ils te traitaient bien, mieux que n’importe qui. Et, au final, qu’importe ton ascendance. Selon toi, un parent n’est pas celui qui enfante, mais celui qui élève et chérit. Tu leur en a voulu, certes, d’avoir attendu si longtemps pour te révéler ton adoption.
Mais, le choc passé, tu as continué de porter fièrement le nom qui t’était attribué, leur vouant une grande reconnaissance pour t’avoir acceptée sous leur toit, alors que tu ne portais pas leur sang. Tu savais ta chance d’avoir reçu cette place. Tout ce qu’ils savaient de ta véritable mère, t’avaient-ils raconté, était contenu dans une lettre glissé dans ton couffin. Un papier, jeté au feu par ton père des années auparavant, qui disait en détail tous les délires de ta génitrice rongée par la folie, ses histoires d’enfant divin et de créatures étranges. Toi, qui n’a jamais cru en autre chose que les faits, n’approchant jamais de près ou de loin à une quelconque religion, tu en as ri un peu jaune. Puis, lorsque ton père te l’a proposé, tu as catégoriquement refusé de chercher à retrouver tes parents biologiques. “Pourquoi est-ce que je voudrais retrouver des gens qui n’ont jamais voulu de moi?” Avais-tu répondu, mettant fin à la discussion.
Ton adoption passait encore. Tu t’es rapidement faite à cette idée. Mais les secrets ne se sont pas arrêtés là. Les choses ont changé à compter du moment où cet inconnu a passé le seuil de ta porte. Un homme mystérieux venu porter un étrange discours. Des propos similaires à ceux laissés entre tes couvertures, des années plus tôt par, fallait-il le croire, un être tiré d’histoires et de légendes.
Nymphes, monstres et mortels. Divinités de l’Olympe et des Enfers. Demi-déesse, fille d’Athéna.
Tu as tout nié en bloc. L’esprit ouvert sur de nombreux sujet, tu as pourtant toujours été formelle sur celui-ci : Quels que soient leurs noms, leurs histoires, leur nombre, ou la religion s’y rapportant… “Les Dieux n’existent pas.” Tu as maintenu qu’ils n’étaient qu’un concept inventé par l’Homme. Une façon d’expliquer tout ce qu’il ne comprend pas. Une chose à laquelle se raccrocher dans les moments de faiblesse. Des entités ne jouant qu’un rôle spirituel, ne subsistant que dans l’imaginaire et, par conséquent, incapable d’enfanter ailleurs que dans les histoires.
Pourtant, cette créature savait tant de choses sur toi, des choses qu’elle n’aurait pas pu savoir, à moins de se trouver dans ta propre tête. Le mot dans ton couffin, tes aptitudes physiques supérieures à la moyenne et notamment lors de la pratique de sports de combat, ton incroyable mémoire auditive, ton insensibilité partielle à la peur, ta tendance à rapidement prendre des décisions… Pour la première fois de toute ta vie, tu t’es sentie vulnérable fasse à ses connaissances, humiliée que tant de vérités personnelles soient exposées par cet étranger. Tu as vu en ce fanatique un harceleur pervers d’un autre niveau, un gourou souhaitant t’élever en égérie de sa secte, ou simplement te rallier à sa cause.
Tu l’as chassé. Malgré ton jeune âge, tes mots étaient durs, et appuyés par ceux de tes parents. Les jours passants, la police n’avait rien pu faire pour l’empêcher de revenir. Tu ne sortais plus seule. Tu ne sortais plus en dehors de tes heures de cours, du tout, craignant qu’il ne vienne te chercher jusqu’au collège. Chaque matin, tu te faisais conduire en voiture jusqu’à ton établissement scolaire. Jusqu’au jour où tes camarades ne t’ont pas vue passer le portail.
Ce jour fut celui où tu te sentis réellement seule. Livrée à toi-même, quand l’homme est venu, une fois de plus. Il vous a montré les oiseaux répondant à la mélodie de sa flûte et fait la démonstration de capacités physiques exceptionnelles. La preuve était là, mais tu as continué dans ton refus de voir l’évidence. Tu as crié au tour de passe-passe, au coup monté. Tes parents, eux, ont finit par comprendre. Manipulés ou forcés, tu n’en sais rien. Mais ils t’ont laissée. Tu t’es débattue. Le satyre voulait t’emmener de gré, il l’a fait de force. “Pour la sécurité de tous.”
* * *
Aujourd’hui, presque trois ans ont passé. Voilà une trentaine de mois que tu vis emprisonnée dans cet endroit, remplis de tes égaux. Tu n’avais jamais connu ça. Cette sensation constante d’être dépassée, par les évènements et par tes congénères. Tu n’avais jamais cru à toutes ces choses défiant les lois du réel, et on te demandait de commencer à le faire. Persécutée au plus profond de tes croyances, tu as tenté de t’enfuir et de te rebeller, en vain. Le temps faisant son effet, te confrontant quotidiennement à des êtres d’apparence humaine mais se déplaçant à la vitesse du son, changeant de forme pour arborer les ailes d’un corbeau, ou invoquant les vents par leur simple volonté. Face à la réalité des choses, tu as été forcée de concéder que celles-ci existaient. Il t’a fallut plus de saisons encore, pour accepter ta véritable nature. Le déni a finit par te quitter, ne laissant sur ta langue qu’un goût amer.
Tu avais tout, et ton héritage divin te l’a volé, gonflant ta vie de paradoxes : Entourée de Dieux en lesquels tu n’as jamais cru. Égalée, voire surpassée, dans de nombreux domaines, toi qui était si talentueuse. Une jeune femme, soit disant banale, qui l’est réellement devenue dans un monde qui ne l’est pas.
Te déconstruire a été difficile. Et, sans repères, déchirée dans cet entre deux monde alors que tu n’as plus ta place ni dans l’un, ni dans l’autre, te reconstruire l’est encore plus.
Tu oscilles entre haïr une mère que tu n’as jamais connu mais revenue t’arracher à la vie qu’elle avait décidé pour toi, et détester le couple t’ayant accueillie comme l’une des leurs puis abandonnée comme une étrangère. Constamment, tu t’interroges : As-tu seulement encore ta place quelque part?
Résumé
-Esther, fille d’Athéna, a été déposée sur le pas de la porte d’un couple New-Yorkais lorsqu’elle était bébé.
-La déesse avait glissé un mot entre ses couvertures à l’attention des parents. Les parents d’Esther ayant cru aux mots d’une fanatique ont simplement brûlé la lettre sans en croire le contenu.
-L’adolescente a grandit dans l’amour et la tranquilité. Elle avait de bons amis et était douée en cours, en sport et en musique, notamment grâce à ses pouvoirs dont elle n’avait pas connaissance.
-A ses 14 ans, un satyre s’est présenté à elle, lui révélant son ascendance divine. Totalement Athée, Esther l’a pris pour un fou/harceleur/pervers/whatever et a refusé de le suivre.
-Celui-ci a cependant réussi à convaincre ses parents en démontrant ses propres pouvoirs, l’autorisant à emmener Esther par la force.
-Les années au camp passant, Esther a bien été obligée d’accepter les réalité des choses, bien que cela ait été difficile.
-La jeune femme, aujourd’hui âgée de 17 ans, trahie par ses parents et détestant les Dieux et ce qui s’y rapporte (particulièrement Athéna), a encore beaucoup de mal à s’accommoder à ses origines. | Haru
Hello! Je suis un joueur FR de 22 ans, un peu geek sur les bords (il paraît), en quête de nouvelles expériences rôlistiques. J’écris depuis la primaire (ça a commencé avec des fanfictions pokémon de basse qualité, tmtc), je fais du RP de façon éphémère depuis mes 14 ans, et plus régulièrement depuis bientôt 4 ans.
Pour la petite histoire, j’y connais pas grand chose à Percy Jackson (j’ai du voir le film il y a quelques années, mais n’en garde qu’un très vague souvenir). Mais la personne qui m’a traîné ici (Coucou Noah (oui, je balance, au cas où il y ait du rab à la cantine pour les parrains)) m’a assuré que ça ne serait pas un problème. Donc c’est pas impossible qu’il y ait des incohérences ou des non-respects du lore dans ma présentation. J’ai essayé de faire attention, mais s’il y en a, je les corrigerai avec plaisir! Merci de m’avoir lu o/ |
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(ça ne m'étonne même pas d'elle, choupie 
)
j'approuve tellement le côté athé de ta perso c'est ouf c'est si bien trouvé 
