Alastor - Fill up your glasses for those who were kind

19/06/2021

AlastorSideris

AlastorSideris22 ansAphroditearo & biaucun15 ans

apparenceil frôle le mètre soixante-dix à grand peine ☾ 69 kilos à tout péter, un peu de muscle pour sauver les meubles ☾ cheveux long et noirs qui ont l’air de n’avoir jamais connu un peigne ☾ des yeux marron clair qui ont parfois l'air de briller d'un éclat ambré ☾ un corps résistant aux muscles plus ou moins dessinés mais un dos bien fragile à force de se tenir n’importe comment ☾ deux hélix sur l’oreille gauche (il a percé ça tout seul comme un grand malgré les nombreuses contre indications, il est stupide que voulez-vous)
Tyki Mikk D. Gray-man

★★★ Métamorphose (10/10)
★★★ Persuasion (7/10)
★★★ Amokinésis (5/10)
★★★ Changeline (4/10)
★★☆ Charisme (2/10)

MentalDÉFAUT FATAL : sa manie de s'attacher trop viteobservateur - menteur & manipulateur sur les bords - résilient - versatile - logique - protecteur - loyal - malin - indifférent du sort des inconnus sauf s’ils peuvent lui être utiles - calculateur - “irrationnel” quand il s’agit des gens auxquels il tient - très rancunier, les secondes chances sont rares avec lui - peut se montrer violent au besoin - réagit au quart de tour si quelqu’un qu’il aime se fait emmerder - sinon il est plutôt chill - sociable comme jamais - commère (il aime bien tout savoir) - résistant - je-m’en-foutiste - s’attache facilement aux gosses à problèmes parce qu’il s’identifie à eux (ou aux gosses tout court en fait) - donne presque toujours des mauvais conseils (intentionnellement ou non) - n’aime pas parler de lui - n’aime pas particulièrement s’impliquer dans les histoires - débrouillard - optimiste mais fataliste parce que faut pas abuser non plus

a peur du noir & des chiens ☾ possède une somme d’argent assez importante qu’il utilise pour ses injections de testostérone et ses binders ☾ n’aime pas quitter la Colonie car il méprise le monde extérieur ☾ est assez indifférent à cette guerre entre les dieux mais est du côté de sa mère parce que la famille c’est important ☾ a tendance à trop facilement s’attacher aux gamins plein d’espoir et de rêves dans la tête, sans doute par procuration ☾ a une fascination pour la musique mais est bien incapable d’en créer ☾ forte tolérance à la douleur ☾ a un faible pour tout ce qui contient du sucre ☾ se sent très peu à sa place en tant que fils d’Aphrodite mais n’en a pas non plus grand chose à faire (il trouve ça surtout très ironique) ☾ ne comprend pas l’attrait de l’amour romantique ☾ ses conseils en matière de romance varient entre la communication ou la rupture, pas d’entre-deux ☾ ne supporte pas les insectes ☾ animal social avec une bonne tolérance à l’alcool ☾ absolument insupportable lorsqu’il tombe malade ☾ aime s’entraîner mais dès qu’il faut se forcer ou qu’il n’est pas d’humeur il ne fait plus aucun effort ☾ d’abord très anxieux de partager un bungalow tout en étant trans, il n’en a plus rien à faire à présent et n’est pas contre la violence si jamais une quelconque pointe d’intolérance se fait sentir chez qui que ce soit ☾ jure comme un charretier dès que l’occasion se présente (il essaie d’arrêter, promis) ☾ déteste tous les surnoms attribuables à son prénom ☾ n’est pas contre organiser un petit trafic de piercings sachant qu’il a l’équipement pour et peut toujours aller se fournir en bijoux hors de la Colonie ☾ ne serait pas contre bosser pour la Colonie une fois qu’il n’aura plus l’âge d’être considéré comme un campeur ☾ passe généralement une année entière sur deux au camp afin de pouvoir bosser et gagner de l’argent parce que mine de rien, ça ne tombe pas du ciel

Histoire

Résumé + petits détails omis:

La vie était bien simple aux yeux de l’enfant plus ou moins privilégié qu’était Alastor. Certes, il n’était pas comme tous les autres marmots, il n’avait pas de mère pour venir le chercher à la sortie de l’école ou pour l’encourager à lire lui-même des histoires avant de s’endormir. Il avait un père bien sûr, un père dont le métier leur offrait une vie confortable, un père qui faisait son possible pour être aussi présent que son emploi du temps le lui permettait, un père aimant bien que distant. Certes, il avait des difficultés à l’école, il ne parvenait pas à lire correctement, avait du mal à tenir en place trop longtemps, faisait de son mieux lors des dictées hebdomadaires mais peinait à obtenir de bonnes notes. Certes, il ne s’était jamais senti très à l’aise dans les vêtements achetés par son père, trop colorés, trop brillants, et entendre son propre prénom avait toujours été créateur d’un certain malaise.

Certes.

Mais la vie était simple.

Bientôt, l’équation vint se compliquer à cause d’un sentiment aussi familier qu’étranger pour l’enfant. L’amour avait toujours été un concept un peu étrange aux yeux d’Alastor, autant à l’âge de sept ans en entendant les bavardages de ses camarades de classe qu’à l’âge de dix ans quand son père invita un jour une nouvelle personne, une femme, à se joindre à leur petite vie de famille. Alastor n’avait jamais eu de mère, n’en avait jamais ressenti le besoin et peut-être que Rowena avait été capable de se rendre compte de sa réticence car jamais elle n’essaya de s’imposer. L’enfant a du mal à s’adapter au changement de quotidien, surtout quand cette femme emménage avec eux quelques mois plus tard et que soudain, l’appartement résonne de musique des années quatre-vingts et que la salle de bain sent le parfum. Elle est étrange, elle n’a rien à faire là et pourtant, malgré toute cette négativité et cette envie de la voir disparaître de sa vie, elle sera la première personne à qui Alastor se confiera des années plus tard.

Le sentiment d’être différent avait toujours suivi Alastor partout où il allait. Que cela se traduise dans les ombres étranges qu’il avait l’impression de discerner du coin de l’oeil ou dans le rapport qu’il entretenait avec son corps ou même ses rapports sociaux, l’adolescent autrefois sociable se renfermait sur lui-même. Les livres devinrent sa façon de s’échapper, de s’occuper pendant quelques heures à s’entêter de lire des mots qui s’entremêlaient les uns aux autres pour se vider l’esprit. Puis un jour, un livre attire son oeil de jeune lecteur, le résumé est banal mais le contenu ? Le contenu le tient éveillé des nuits durant, trop têtu et trop émerveillé pour reposer ce livre peu importe à quel point ses yeux lui font mal. Une nuit, Alastor comprend qu’il n’était peut-être pas aussi seul qu’il le pensait.

Mais si le fardeau pesant sur ses épaules tel le ciel faisant crouler Atlas sous son poids s’allège quelque peu lorsque le déclic se fait, en parler est une tout autre histoire. Alastor n’est encore qu’un adolescent et même s’il a conscience du fossé le séparant de son père, il a encore l’impression de pouvoir lui parler de tout, encore l’impression de pouvoir être compris. Après tout, si sa belle-mère avait réussi à comprendre son charabia fréquemment interrompu par les larmes, pourquoi est-ce que son père ne pourrait-il pas lui aussi se montrer aussi compréhensif ? Encore aujourd’hui, Alastor n’a pas de réponse à cette question.

Il a treize ans quand sa bulle éclate, trop violemment pour qu’il puisse se rattraper à quoi que ce soit, si ce n’est l’amère réalisation que son paternel préfère agir comme si de rien n’était plutôt que de le jeter dehors. Une consolation qui n’a rien de réconfortant.

Peut-être est-ce ce nouveau savoir ou peut-être est-ce tout autre chose, mais la vie devient compliquée pour Alastor. Du coin de l’oeil, les ombres se font plus nombreuses et menaçantes et l’environnement scolaire devient plus hostile. L’adolescent se sent étouffer, toujours un peu plus à chaque jour qui passe. Qu’il sorte ou qu’il reste confiné entre les quatre murs de sa chambre, l’ambiance est la même, pesante. Il en deviendrait presque fou, a même l’impression d’avoir des hallucinations de temps à autre mais se conforte dans l’idée que ses nuits d’insomnie sont la raison pour laquelle certaines personnes lui semblent étrangères, presque floues.

Il ne tiendra que quelques mois avant de prendre la décision de fuir. L’atmosphère familiale lui donne chaque jour un peu plus envie de vomir, entendre ce qui fut un temps son prénom lui donne envie de hurler et le regard désapprobateur de son père ne fait que faire s’accumuler la rage chez Alastor. Malgré le soutien inconditionnel de sa belle-mère, elle ne peut pas faire de miracles et même les meilleures des intentions ne sauraient le retenir dans un endroit aussi hostile que l’extérieur. Il lui assurera qu’il ne fait que rejoindre un ami, qu’il a besoin de changer d’environnement et qu’elle peut lui faire confiance pour revenir en un seul morceau. Elle lui laissera une somme d’argent considérable, une somme qu’aucune personne saine d’esprit ne laisserait à un adolescent de quatorze ans, et pourtant.

La vie dans la rue n’a rien de simple. Alastor fait son possible pour passer inaperçu, pour échapper à ces ombres qui ont l’air de le suivre mais rien n’y fait. En quelques semaines à peine, il se retrouve acculé à un mur, deux hommes face à lui n’ayant aucune intention de le laisser s’échapper. Il a faim, froid, la fatigue déforme sa perception de l’environnement et il a bien conscience que c’est peut-être la fin.

Ce n’est pas le cas.

Les détails sont flous dans son esprit, encore aujourd’hui. Tout ce qu’il sait c’est qu’il n’a plus eu le temps de réfléchir que ses jambes se sont mises à courir, son poignet fermement enserré par une main de fer le tirant vers l’avant, son sac à dos manquant de l’envoyer au sol à chaque pas.

Alastor a quinze ans quand il apprend l’existence d’un tout autre monde, d’une communauté à part dont il ferait vraisemblablement partie. Il ne veut pas y croire et pourtant les preuves sont là. On lui explique un tas de choses, on lui pose trop de questions, tout rentre dans une oreille et ressort par l’autre. C’est étrange. Il a l’impression d’être là sans l’être. On lui dit que sa mère est une déesse grecque, qu’il possède des pouvoirs hors du commun - à force de se renfermer sur lui-même, il semblerait qu’il ait renié toute manifestation magique, que ses agresseurs étaient en fait des monstres tirés de légendes dont il n’a entendu parler que dans des livres de fiction, qu’il est en sécurité à présent, qu’il n’est plus tout seul.

Tout ce qu’il comprend, c’est qu’un nouvel enfer l’attend.

A aujourd'hui vingt-deux ans, Alastor ne peut que rire - autant avec amertume qu'amusement - en se remémorant l'état d'esprit avec lequel il avait intégré la Colonie, tel un animal sauvage complètement perdu. Les choses ont bien changé en sept ans et si tout n'est pas forcément rose, surtout considérant les événements agitant l'Olympe, tout n'est pas non plus complètement noyé dans les ténèbres non plus. Et si le jeune homme a découvert bien des choses en sept ans d'apprentissage, la plus importante d'entre elles n'est autre que la Colonie n'a rien d'un enfer pour lui comparé au monde extérieur.

Alastor fera l'affaire
On remerciera Lys de m'avoir ramené par ici & l'enthousiasme d'Eliott qui a fini de me convaincre hehe c: J'ai rien à dire sur moi à part que j'ai hâte de rp dans ce contexte qui m'a l'air très intéressant !
Et ce design wow Fish

21/04/2021

UN FRERE.
Bonjour toi

J'espère on va faire des étincelles

10/05/2021

Hey salut !!

Bienvenue,
j'aime ton début de fiche !!

Je repasse lire la suite avec impatience...

Kiss

27/04/2021

BIENVENUE.
Woh je connaissais pas ce feat je. Nice

Alastor (j'adore ce prénom aidez-moi) m'a l'air super intéressant, j'attends son histoire avec impatience et surtout "animal social avec une bonne tolérance à l’alcool" AMENO. Hellcome au camp des alcooliques anonymes, prépare ton foie.

PS : Love

02/05/2021

Oh une ref de D Gray Man, ça faisait longtemps que j'en avais pas vu !
Bienvenue !

14/05/2021

YO.
J'ai vu mon pseudo.
Happy to see ya, jte réserve liens + rp !
Love. (Bienvenue)

20/04/2021

Le feat est à tomber, je plussoie.
Aussi, les contradictions qui sont les siennes en tant qu'enfant d'Aphrodite, j'aime beaucoup l'idée.
Enfin, un perso trans, ça fait du bien et j'ai hâte de découvrir son parcours de vie.
Bienvenue parmi nous & have fun !

19/06/2021

... je croyais avoir répondu, à l'aide Alastor - Fill up your glasses for those who were kind 1f636

Merci (bien en retard du coup ahem) pour l'accueil et pour tous les compliments par rapport à la fiche, j'ai hâte de rp avec vous et d'approfondir tout ça !

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